JAGUAR XJS GROUP 44 TRANS-AM [Vendu]
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Le constructeur britannique connu pour l’incroyable type E, Jaguar a retiré son best-seller de longue date avec l’introduction de la XJ-S en 1975. La voiture de luxe grand tourisme de route a été moyennement bien accueillie en raison de sa conception davantage orientée luxe, le constructeur automobile britannique fut alors déterminé à trouver comment augmenter ses ventes. La phrase éprouvée «Gagnez le dimanche, vendez le lundi» a été instituée pour fournir un pedigree de course à la XJ-S qui a commencé avec l’équipe de course de Bob Tullius, Groupe 44.
Jaguar a approché l’équipe de course Group 44 basée en Virginie avec l’intention de faire de la XJ-S une machine gagnante. L’équipe de course privée s’est exécutée et Jaguar a largement rentabilisé son investissement, avec Bob Tullius au volant et la XJ-S de course remportant le championnat pilote dans la classe Trans-Am Catégorie 1 en 1977. Cette première XJ-S de course a marqué le début de l’évolution qui a conduit à la menaçante XJ-S présentée ici, victorieuse du championnat 1978.
1978 a donné lieu à une voiture plus hardcore, la voiture profitant cette fois d’un travail aérodynamique. Tant que la voiture ressemblait à une voiture de série, ils pouvaient généralement courir. Cela a permis quelques évolutions mécaniques «créatives» et la Jaguar en a pleinement profité. Cette fois, Group 44 a utilisé la coque d’usine qui était trempée dans l’acide, à la manière de ce que Roger Penske et Mark Donohue ont fait à leurs Camaro Trans-Am à la fin des années 60, économisant ainsi de précieux kilos. Cette combinaison inspirée a été combinée avec le moteur Jaguar V12 à arbres à cames en tête de 5,3 litres. Ne laissant rien au hasard, au lieu de l’injection de carburant, il a reçu six carburateurs Weber et a été considérablement modifié et réglé pour produire environ 580 chevaux, soit plus du double des 244 chevaux de la voiture de route.
En dépit d’être plus lourd et d’avoir une cylindrée moindre que la plupart de ses concurrents, Bob Tullius et la Jaguar ont vu le drapeau à damier 7 fois de suite après les trois premières courses, prenant un podium aux 2e et 3e d’entre elles; égalant Mark Donohue pour le plus grand nombre de victoires consécutives en Trans-Am. À Road America, il a remporté le championnat des pilotes et, lors de la dernière manche de la saison à Mexico, il a fièrement remporté le titre des constructeurs pour Jaguar dans la catégorie 1.
Après avoir dominé la saison 1978, la voiture a été entreposée par Tullius pendant près de trois décennies avant d’aller au collectionneur Gary Bartlett en 2007. Bartlett a chargé Chris Keith-Lucas en Angleterre de restaurer mécaniquement la voiture, y compris une reconstruction complète du moteur. En mars 2009, la XJ-S a remporté le prix FIVA au Concours d’élégance d’Amelia Island, et en août 2011, elle a été fièrement présentée au Rolex Monterey Motorsports Reunion à Monterey à Laguna Seca. Deux ans après, la Jaguar a reçu la certification pour les grands événements de course avec un PTH FIA et une carte FIVA. En 2013, la voiture a été achetée par son propriétaire le plus récent.
La Jaguar Group 44, dans sa livrée verte et blanche siglée Quaker State Oil, est une pièce emblématique et atypique de l’histoire de la Trans-Am. L’état cosmétique de la voiture est d’origine, évident par sa patine de la piste qui donne à ce monstre V12 un caractère unique. Alors que la plupart des véhicules Trans-Am étaient remplis de V8 et de six cylindres à plat, Jaguar et Group 44 ont décidé de tenter leur chance avec ce V12, transformant une voiture de luxe en une machine dominante dans la course. Qui aurait su qu’une voiture de course basée sur un yacht terrestre aurait devancé un certain nombre de constructeurs qui, normalement, n’étaient pas contestés? La simplicité de la silhouette de course avec sa carrosserie mince, sa configuration et ses réglages de châssis optimisés, le moteur V12 à haut régime glorieux et, bien sûr, les mains et les pieds talentueux de Bob Tullius étaient des atouts majeurs et cette auto sera reconnue pour les décennies à venir.
Résultats de la saison 1978 Trans-Am Racing
21 mai – Sears Point – 9e de classe, 18e OA
4 juin – Westwood – 2e de classe, 4e OA
11 juin – Portland – 3e de classe, 7e OA
25 juin – Mont-Tremblant – 1re de classe, 5e OA
8 juillet – Watkins Glen – 1er de classe, 7e OA
13 août – Brainerd – 1er de classe, 5e OA
19 août – Mosport – 1er de classe, 5e OA
4 septembre – Road America – 1er de classe, 5e OA
8 octobre – Laguna Seca – 1re de classe, 7e OA
5 novembre – Mexico – 1er de la classe, 6e OA
1978 Résultats des courses (autres)
26 novembre – Daytona Finale – 2e de classe, 9e OA
Bob Tullius – Vainqueur du championnat des pilotes,
Jaguar – Vainqueur du championnat des constructeurs
On sale 1978 Jaguar XJ-S Group 44 Trans-Am.
The British manufacturer known for the unquestionably-amazing E-type, Jaguar retired their long-time best seller with the introduction of the XJ-S in 1975. The luxury grand tourer street car was met with a lukewarm response due to its more luxury-oriented design, and the British car maker was determined to figure out how to increase its sales. The time-tested phrase “Win on Sunday, sell on Monday” was instituted to provide some racing pedigree to the XJ-S which started with the Bob Tullius’ racing team, Group 44.
Jaguar approached the Virginia-based Group 44 racing team with the intention of making the XJ-S a winning machine. The private race team obliged and Jaguar was paid back in spades, with Bob Tullius and the XJ-S race car winning the Driver’s Championship in Trans-Am Category 1 class in 1977. That Trans-Am car began the evolution from the first XJ-S Trans-Am racer that led to this menacing 1978 championship winner.
1978 yielded a far more hardcore racer, this time this car taking advantage of the silhouette rules. As long as the car looked like a stock production car, they could generally race. This allowed for some “creative” mechanical underpinnings and the Jaguar took full advantage of this. This time, Group 44 used the factory tub which was an acid-dipped body shell provided by Jaguar, à la what Roger Penske and Mark Donohue did to their Trans-Am Camaros in the late 60s, saving precious pounds. This inspired combination was combined with Jaguar’s 5.3-liter overhead cam V12 powerplant. Not leaving anything to chance, instead of fuel injection it received six Weber carburetors and was significantly modified and tuned to produce around 580 horsepower, more than twice the road car’s 244 horsepower.
Despite being heavier than most of its competition and having less displacement than its competitors, Bob Tullius and the Jaguar saw the checkered flag 7 times in a row after the first three rounds, taking a podium finish in the 2nd and 3rd rounds; tying Mark Donohue for the most consecutive Trans-Am wins. At Road America he clinched the driver’s championship and, in the season’s final round in Mexico City, he proudly took the manufacturers’ title for Jaguar in the Category 1 class.
After dominating the 1978 season, the car was placed into storage by Tullius for close to three decades before going to collector Gary Bartlett in 2007. Bartlett commissioned Chris Keith-Lucas in England to mechanically restore the car, including a comprehensive engine rebuild. In March 2009 the XJ-S won the FIVA award at the Amelia Island Concours d’Elegance, and in August 2011 it was proudly displayed at the Rolex Monterey Motorsports Reunion in Monterey at Laguna Seca. Two years following, the Jaguar received certification for major racing events with an FIA Historic Technical Password and a FIVA card. In 2013 the car was purchased by its most recent owner.
The Group 44 Jaguar, in its signature Quaker State Oil green and white livery, is an iconic and unusual piece of Trans-Am history. The cosmetic condition of the car is original, evident by its patina from the track that gives this V12 monster a unique character. While most of the Trans-Am field were filled with V8s and flat sixes, Jaguar and Group 44 decided to take a chance on that V12, turning a luxury car into a race-dominating machine. Who would have known that a land yacht-based race car would have trumped a number of manufacturers who normally were uncontested? The simplicity of the silhouette racer with its thin bodywork, competent chassis setup and tuning, the gloriously high-revving V12 engine, and of course the talented hands and feet of Bob Tullius were a winning dominating force that will be known for decades to come.
1978 Trans-Am Racing Season Results
May 21st – Sears Point – 9th in class, 18th OA
June 4th – Westwood – 2nd in class, 4th OA
June 11th – Portland – 3rd in class, 7th OA
June 25th – Mont-Tremblant – 1st in class, 5th OA
July 8th – Watkins Glen – 1st in class, 7th OA
August 13th – Brainerd – 1st in class, 5th OA
August 19th – Mosport – 1st in class, 5th OA
September 4th – Road America – 1st in class, 5th OA
October 8th – Laguna Seca – 1st in class, 7th OA
November 5th – Mexico City – 1st in class, 6th OA
1978 Racing Results (other)
November 26th – Daytona Finale – 2nd in class, 9th OA
Bob Tullius – Driver’s Championship Winner,
Jaguar – Manufacturer’s Championship Winner
Passeports techniques
Passeport | ASN | Numéro | Extrait |
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Passeport technique international (PTH) |