Lola T280 (DFV)
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Nous avons le plaisir de proposer à la vente ce rare châssis Lola T280 HU3 de 1972 au nom de son propriétaire de longue date.
Après avoir très bien servi la société Eric Broadleys Lola pendant cinq saisons, la Lola T70 a finalement été abandonnée en 1969 et Broadley a jeté son dévolu sur le championnat d’Europe des deux litres avec la toute nouvelle T210 quia rencontré un très grand succès commercial. Avant la saison 1972, la réglementation des courses de voitures de sport a été considérablement révisée, de sorte que la nouvelle réglementation du «Groupe 5», désormais appelée Groupe 6, a supprimé toutes les exigences d’homologation et comportait une limite de cylindrée de trois litres. Idéalement, il s’agissait d’une copie exacte de la réglementation contemporaine des moteurs de Formule 1.
Pour les constructeurs spécialisés tels que Lola, cela a ouvert la porte du championnat du monde grâce au nouveau et compétitif moteur Cosworth DFV. Eric Broadley a sauté sur l’occasion et, assisté de l’ingénieur en chef Bob Marston et des jeunes designers talentueux John Barnard et Patrick Head, a développé un tout nouveau prototype de course pour la saison 1972. En utilisant les ressources de manière économique, une conception de base a été établie qui a constitué la base d’un nouveau sport proto de trois litres et de deux litres, connus respectivement sous le nom de T280 et T290.
Comme les très avancées T210 et le T212, la nouvelle génération de sport-protypes Lola utilisait une monocoque en aluminium léger. La plus grande différence entre les deux nouvelles voitures se trouvait évidemment dans le compartiment moteur. L’un des points forts du Cosworth DFV 3 litres était qu’il était suffisamment rigide pour être utilisé comme élément sollicité du châssis, tandis que les moteurs quatre cylindres plus petits nécessitaient un sous-châssis supplémentaire pour supporter les charges de la suspension arrière.
D’autres facteurs distinctifs étaient la boîte de vitesses DG-300 Hewland et des freins intégrés sur la version trois litres, ce qui permettait des roues plus larges. Sinon, le T280/T290 suivaient des directives de conception conventionnelles en vigueur avec des triangles doubles à l’avant et des triangles inférieurs inversés, des bras supérieurs et des bras oscillants jumeaux à l’arrière. Vêtues d’une carrosserie en fibre de verre glissante, les deux premières T280 ont été vendues à Jo Bonnier, qui était également le représentant de Lola sur le continent européen, et elles ont été alignées par l’Ecurie Bonnier dans le championnat du monde où elles ont affronté une très forte concurrence d’Alfa Romeo, Ferrari, Matra et Mirage.
Lors de l’ouverture de la saison des courses longue distance, les T280 se sont révélées rapides mais ont également démontré la tendance du DFV à trop vibrer au point de mettre la voiture en pièces. Une victoire aux 4 Heures du Mans en mars 1972 a prouvé le potentiel de la nouvelle Lola.
Notre voiture, la 3e Lola 280 construite, a été vendue directement au Japon, après quoi deux autres 280 ont été construites (dont une pour remplacer HU1 chrashée).
En tout, seulement 5 Lola T280 ont été construites, ce qui contraste fortement avec les plus de 30 (34 pour être exact) T290. Une fois terminé en 1972, le châssis HU3 a été vendu directement au Japon où il a été piloté par Noritake Takahara de l’équipe de course Kojima. dans la série Grand Champion se déroulant sur le Fuji Speedway.
Takahara n’a conduit et remporté que 4 des 5 manches, remportant ainsi le titre de champion de 1972 avec HU3 sur lequel il a vendu la voiture à Yamamoto Racing.
Le 29 juillet 1973, Shigeaki Asaoka a pilotée la voiture aux 1000 km de Fuji en partant de la pole position.Elle arborait une magnifique livrée rouge Coca Cola Malheureusement, la voiture a abandonné après 35 tours avec des problèmes techniques.
Au cours des années suivantes, HU3 a été engagé dans diverses courses japonaises locales avant d’être retiré du service de course et mise de côté.
HU3 s’est attardée au Japon jusqu’à ce que l’actuel propriétaire portugais en fasse l’acquisition en 2007. Son inspection a révélé que la voiture était très originale en conservant la plupart de ses composants d’origine, y compris le châssis (avec étiquette de châssis), la carrosserie, les réservoirs, composants de suspension, tableau de bord, pédalier, etc.. Dès son arrivée en Europe, une restauration complète de HU3 a été entreprise par le spécialiste Lola Clive Robinson qui a remis la voiture dans sa livrée 1973 Coca Cola Fuji 1000km.
En 2010, 38 ans après que l’usine Lola l’ait envoyé au Japon, HU3 a fait son apparition sur la scène des courses historiques européennes où elle a fait campagne avec beaucoup de succès au cours des 10 dernières années dans la série de courses Peter Autos CER2 et dans plusieurs autres événements comme Le Mans Classic.
La voiture est vendue “ready to race” avec un moteur Richardson DFV à faible kilométrage (4,5 heures), tous les éléments liés à la date à jour et avec un nouveau HTP FIA valide jusqu’à fin 2031.
HU3 est également livré avec un vaste ensemble de pièces de rechange comprenant plusieurs essieux, des sections de nez et de queue de rechange, des rapports de transmission et des synchros, des pièces de frein et de suspension et diverses pièces de rechange de fonctionnement.
Le début des années 70 a été le summum des courses de voitures de sport ouvertes et c’est une occasion exceptionnelle d’acheter une Lola si rare, emblématique et avant-gardiste
We have the pleasure to offer this rare 1972 Lola T280 chassis HU3 for sale on behalf of its long-term owner.
Having served Eric Broadleys Lola company very well for five seasons, the Lola T70 was finally discontinued in 1969 and Broadley set his sights on the European Two Litre Championship with the all-new T210 for which customers lined up in large numbers. Ahead of the 1972 season, the sports car racing regulations were dramatically revised whereby the new ‘Group 5’ regulations, now referred to as Group 6, scratched all homologation requirements and featured a three litre displacement limit. Conveniently, this was an exact copy of the contemporary Formula 1 engine regulations.
For specialist manufacturers such as Lola this re-opened the door to the World Championship thanks to the new and competitive Cosworth DFV engine. Eric Broadley jumped at the opportunity and assisted by chief engineer Bob Marston and talented young designers John Barnard and Patrick Head developed a brand new sports prototype racer for the 1972 season. Using the resources economically, a basic design was laid down that formed the basis for both a new three-litre and two-litre racer, known as the T280 and T290 respectively.
Like the highly advanced T210 and subsequent T212, the new generation of Lola sports racers used a lightweight aluminium monocoque. The biggest difference between the two new cars was obviously found in the engine compartment. One of the strengths of the 3 litre Cosworth DFV was that it was rigid enough to be used as a stressed member of the chassis, while the smaller, four cylinder engines required an additional subframe to support the rear suspension loads.
Other distinguishing factors were a DG-300 Hewland gearbox and in-board mounted brakes on the three-litre version, which allowed for wider wheels. Otherwise, the T280/T290 followed the prevalent conventional design guidelines with double wishbones at the front and reversed lower wishbones, top links and twin trailing-arms at the rear.Clothed in a slippery fibre-glass body, the first two T280s were sold to Jo Bonnier, who was also Lola’s representative on the European continent, and were fielded by Ecurie Bonnier in the World Championship where they faced very strong competition from the likes of Alfa Romeo, Ferrari, Matra and (fellow DFV running) Mirage.
In the season opening long distance races, the T280s proved quick but also demonstrated the DFV’s tendency to vibrate itself and/or the car to pieces. A victory in the March 1972 Le Mans 4 Hours proved the new Lola’s potential.
Our car, the 3rd Lola 280 built, was sold directly to Japan after which two more 280s were built (one of these to replace the crashed HU1).
In all only 5 Lola T280 were built which is a stark contrast to the more than 30 (34 to be exact) T290s.Upon completion in 1972, chassis HU3 was sold directly to Japan where it was raced by Noritake Takahara of the Kojima racing team in the Grand Champion series taking place at the Fuji Speedway.
Takahara only drove and won 4 out of the 5 rounds thereby taking the 1972 championship title with HU3 upon which he sold the car to Yamamoto racing.
On July 29th 1973 Shigeaki Asaoka raced the car, now painted red and with Coca Cola sponsorship, in the Fuji 1000km with race Nr 3 starting from pole position.
Regretfully, the car retired after 35 laps with technical problems.
During the following years, HU3 was entered in various local Japanese races before it was retired from racing duty and put aside.In 1986 the Yamamoto racing team sold HU3 to a private Japanese collector who wanted to restore the car to its former glory but lack of time and other priorities decided otherwise.
As such, HU3 lingered in Japan until it was found and bought by the current Portuguese owner in 2007. Its inspection revealed that the car was highly original retaining most of its original components including the chassis (with chassis tag), bodywork, tank bags, suspension components, dash, pedal box, etc..Upon its arrival in Europe, a full restoration of HU3 was undertaken by Lola specialist Clive Robinson who put the car back in its 1973 Coca Cola Fuji 1000km sponsored livery.
In 2010, 38 years after the Lola factory sent it to Japan, HU3 made its appearance on the European historic racing scene where it has been campaigned very successfully for the last 10+ years in Peter Autos CER2 race series and in multiple Le Mans Classic events.
The car is sold in race-ready condition with a low mileage (4.5 hours) Richardson DFV engine, all date-related items current and with a new FIA HTP valid until the end of 2031.
HU3 also comes with an extensive spares package including multiple wheel sets, spare nose and tail sections, gear-ratios and dog rings, brake and suspension parts and miscellaneous running spares.
The early 70ies were the pinnacle of open sportscar racing and this is an exceptional opportunity to purchase such a rare, iconic and front-running World Championship sports racer which is also eligible for all prime historic race series around the world including Le Mans Classic, Daytona 24hr Classic, etc..
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